Do majeur
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/7/79/Do_maggiore.png/220px-Do_maggiore.png)
La tonalité de do majeur (ut majeur) se développe en partant de la note tonique do ou ut (surtout utilisé dans le langage théorique). Elle est appelée C major en anglais et C-Dur dans l’Europe centrale.
Sans aucune altération (ni dièse, ni bémol), l'armure coïncide avec celle de la tonalité relative la mineur naturel.
![\new Staff {
\relative c' {
\key c \major
\override Staff.TimeSignature #'stencil = ##f
\override Staff.BarLine #'stencil = ##f
c1 d e f g a b c b a g f e d c
}
}
\midi {
\context {
\Score
tempoWholesPerMinute = #(ly:make-moment 120 1)
}
}](http://upload.wikimedia.org/score/g/s/gsbl4twarpaxwz8jctqitx6bcey2f04/gsbl4twa.png)
L’échelle de do majeur est : do, ré, mi, fa, sol, la, si, do.
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/d/d1/My_Keyboard.jpg/220px-My_Keyboard.jpg)
Dans la musique occidentale, la gamme de do majeur sert de base à la construction des modes majeurs avec la succession de deux tons (do/ré, ré/mi), un demi-ton (mi/fa), trois tons (fa/sol, sol/la, la/si), et un demi-ton (si/do). Sans altération, elle est jouée sur la rangée inférieure des touches des instruments à clavier (piano, clavecin, orgue ou xylophone).
Compositions célèbres en do majeur[modifier | modifier le code]
- Concerto pour piano no 21 de Mozart
- Concerto pour piano no 25 de Mozart
- Sonate no 16 « Facile » de Mozart
- Symphonie no 41 de Mozart
- Messe du Couronnement de Mozart
- Premier concerto de Beethoven
- Triple Concerto de Beethoven
- Symphonie no 9 de Schubert
- Symphonie no 2 de Schubert
- Second mouvement de la Symphonie no 3 de Schumann
- Marche nuptiale de Mendelssohn
- Sang viennois de Strauss
- Kaiserwalzer de Strauss
- Boléro de Ravel
- Symphonie no 4 de Prokofiev
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Philippe Gouttenoire et Jean-Philippe Guye, Vocabulaire pratique d'analyse musicale, Delatour France, , 128 p. (ISBN 978-2-7521-0020-7)